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    Le Couteau Suisse Volant Analyse des capacités militaires

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    Rafale F4 Le Nouvel Avion de Chasse et Ses Armements

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  • Un tir dans l’espace : que devient une balle hors de l’air ?

    Un tir dans l’espace : que devient une balle hors de l’air ?

    L’idée de dégainer dans l’espace fait rêver et titille la curiosité, tout comme les récentes avancées en propulsion spatiale. Récemment évoquée dans un podcast du soir, elle amène à se poser plein de questions sur le fonctionnement d’une arme à feu dans le vide spatial et sur ce que ça pourrait donner pour la personne qui tire. Même si le sujet semble sorti d’un film de science-fiction, il vaut le coup de se pencher sur la façon dont les lois de la physique s’appliquent loin de la Terre.

    Comment ça marche, une arme à feu dans le vide ?

    Contre toute attente, il est bien possible de tirer dans l’espace. Même si le vide spatial ne contient pratiquement aucune molécule ou atome, les balles d’aujourd’hui renferment leur propre oxydant. En clair, elles embarquent déjà l’oxygène nécessaire qui permet la combustion lors du tir. D’après le magazine Sky at Night de la BBC, cette petite ruse permet aux armes de fonctionner sans oxygène ambiant.

    Par contre, tirer dans l’espace n’est pas du tout comparable à ce qu’on connaît sur Terre. Dans le vide, l’explosion de la cartouche reste silencieuse, faute d’air pour transporter le son. Même si tout se passe sans bruit, le tireur ressentira bel et bien le recul dans son bras, conformément à la troisième loi de Newton qui dit que toute action génère une réaction opposée. En d’autres termes, quand la balle est propulsée vers l’avant, la personne qui tire est poussée dans l’autre sens.

    Qu’est-ce que ça change pour le tireur ?

    Les effets pour le tireur peuvent surprendre. Franck Heile, physicien cité par Maxisciences, explique que si un coup de feu part près de la tête d’un astronaute, celui-ci pourrait commencer à tourner sur lui-même en l’espace de trois minutes. Ce phénomène est le résultat du transfert de force dû au tir et montre bien que même loin de la Terre, les lois physiques ne cessent de jouer leur rôle.

    Dans une situation imaginaire comme une « guerre des étoiles », ce décalage pourrait avoir des conséquences notables, reflétant les enjeux de la technologie spatiale. Pendant que la balle suit sa trajectoire jusqu’à percuter un objet (comme un astéroïde ou une planète), d’après Matija Cuk, astronome rattaché à l’Université de Harvard et à l’Institut SETI via LiveScience, le tireur continuerait lui aussi sa route en sens opposé.

    La trajectoire et la vitesse de la balle

    La trajectoire d’une balle dans l’espace est tout autre chose que ce qu’on voit sur Terre. Sur notre planète, la gravité fait rapidement redescendre la balle. En revanche, dans le vide spatial, il n’y a pas de forces externes suffisantes pour freiner sa course, et la balle garde sa vitesse initiale pendant longtemps. Matija Cuk insiste en affirmant que « la balle ne s’arrêterait jamais » car elle ne rencontrerait pas assez de matière pour absorber son énergie cinétique rapidement.

    Cette idée met en lumière un aspect fascinant de notre univers : alors que nos actions sur Terre semblent limitées par notre environnement immédiat, elles prennent une toute autre ampleur lorsqu’on se projette dans l’immensité de l’espace en perpétuelle expansion.

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  • Falcon Albatros : le pari français sur un avion qui transforme la guerre invisible

    Falcon Albatros : le pari français sur un avion qui transforme la guerre invisible

    Le ministère français des Armées vient d’annoncer une commande importante de nouveaux avions destinés à la surveillance et à l’intervention en mer, s’inscrivant dans la modernisation de sa flotte. Cette démarche, qui s’inscrit dans le programme AVSIMAR lancé en 2020, va permettre de renforcer la défense maritime française et d’améliorer l’action de l’État sur nos mers. Avec un coût total de 1,3 milliard d’euros, le projet englobe l’achat des appareils, leur entretien ainsi que la mise à jour technologique nécessaire pour relever les défis d’aujourd’hui.

    Un contrat stratégique pour la défense en mer

    Le 1er octobre 2025, le ministère des Armées a officialisé l’achat de cinq appareils supplémentaires, portant ainsi le total à douze avions commandés via le programme AVSIMAR. Cette décision fait suite à l’option de 2020, lors de laquelle sept exemplaires avaient été commandés en premier lieu. La Direction générale de l’Armement a notifié le contrat le 26 septembre 2025. Ce renouvellement vise à remplacer progressivement les anciens modèles Falcon 50 M et Falcon 200 Gardian par les Falcon 2000 « Albatros », qui offrent de meilleures performances et des technologies de pointe.

    Les Falcon 2000 « Albatros » en pleine forme

    Les Falcon 2000 « Albatros » se démarquent par leurs performances supérieures et leur équipement high-tech. Ils disposent d’un rayon d’action supérieur de 10 à 30 % par rapport aux appareils en service, ce qui leur permet de couvrir de vastes zones en mer. Basés à Lann-Bihoué (Morbihan), à Tahiti et en Nouvelle-Calédonie, ils ne manquent pas d’atouts :

    • détecteur de balise de détresse
    • canot de survie pour les opérations de secours

    Côté technologies, ils embarquent un radar à antenne active Searchmaster, un système de navigation inertielle TopAXYZ, un récepteur GPS TopStar 100-2 et un système anti-brouillage TopShield CRPA. Grâce à ces équipements, la détection passive peut atteindre environ 100 km, améliorant ainsi la surveillance.

    Une production qui se partage entre la France et l’étranger

    Les premiers appareils seront fabriqués en France, affirmant ainsi l’engagement national dans le projet. Cependant, à partir de 2028, l’assemblage sera transféré en Inde, dans le cadre des compensations liées à la vente de 36 avions Rafale à ce pays. Cette démarche d’ »offset » permet de renforcer la coopération industrielle internationale tout en honorant les engagements commerciaux bilatéraux.

    Vers de nouvelles technologies et perspectives d’avenir

    Parallèlement au développement des nouveaux Falcon « Albatros », une modernisation des Falcon 50M est prévue grâce à l’intégration d’une boule optronique Euroflir 410 nouvelle génération pour améliorer leurs performances d’observation. Le programme AVSIMAR prévoit également une seconde phase qui verra l’acquisition de moyens complémentaires, comme des drones, afin de répondre à l’ensemble des besoins opérationnels jusqu’en 2035.

    Le lancement de ce programme représente une étape marquante pour la sécurité maritime française. En renouvelant sa flotte avec des appareils modernes dotés d’équipements avancés, la France renforce sa capacité à surveiller ses eaux territoriales et à s’adapter aux exigences actuelles en matière de sécurité nationale. Le premier Falcon « Albatros » a déjà effectué son vol inaugural depuis Bordeaux-Mérignac en janvier 2025, et ces nouveautés devraient être opérationnelles dès la fin de 2026, bien que leur entrée en service ait connu un léger décalage par rapport au planning initial.

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