Le ministère des Armées cherche des solutions pour accélérer l’identification d’agents biologiques pathogènes

Le premier cas documenté d’usage d’une arme biologique remonte à 590 avant Jésus-Christ, durant la première guerre sacrée, en Grèce. En effet, les Athéniens avaient empoisonné l’approvisionnement en eau de la ville de Kirra, qu’ils assiégeaient, en utilisant de l’hellébore, une plante toxique particulièrement abondante dans les régions méditerranéennes. De nos jours, une telle menace…

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