Bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver. Nous allons aujourd’hui parler des solutions, oui des solutions pour la France, pour la zone euro, pour notre épargne, pour justement éviter le chaos. Car vous le savez, ça y est, j’ai envie de dire c’est pas trop tôt, nous avons enfin un premier ministre. C’est vrai qu’on l’a attendu plus de 50 jours, il est là, mais néanmoins le plus dur reste à venir. Que va-t-il faire ? Quelle politique mener ? Comment peut-on sortir de l’ornière ?Donc c’est la thématique de cette vidéo bien sûr avec des conséquences pour l’ensemble des Français, pour l’ensemble de la zone euro et également pour notre épargne. Donc je vais donner des solutions pour justement essayer de d’éviter le pire,d’éviter le chaos, pour éviter également que de voir notre épargne sombrer. Donc sur quoi faut-il investir ? Et puis bien sûr la question du jour, vous avez été extrêmement nombreux à me la poser, l’État français peut-il ponctionner notre épargne ?Et bien malheureusement la réponse est ben je vous la dirai tout à l’heure, mais dans le détail évidemment ça sera la question du jour.
Et puis bien sûr on termine avec une bonne nouvelle comme d’habitude, il y en a quand même, mais néanmoins le plus important reste à venir. Il faut maintenant essayer de sortir par l’ut de cette crise, cette crise politique,cette crise sociale, sociétale voire de l’ensemble de la zone euro. Alors on commence tout de suite évidemment il y a beaucoup de graphique de chiffres très clairs à donner et que vous pourrez évidemment distribuer car c’est ça le plus important aujourd’hui, distribuer les je DIRIS la vérité économique hein, vous l’avez vu on n pas arrêté de dire que le déficite public allait se creuser, ça fait 8 mois qu’on l’annonce puis la semaine seme dernière tiens on a découvert bah oui effectivement ça se creuse B oui la vérité finit toujours par l’emporter c’est ça le plus important sachant que la première mesure quasiment du nouveau Premier ministre c’est de demander à Bruxelles un délai parce que normalement nous devions présenter le 20 septembre une une un projet de réduction du déficite public bien nous ne sommes pas prêts à priori donc on demande un délai ça commence pas forcément bien mais bon voyons voir ce qu’on peut faire pour justement sauver notre douce France. Alors on commence tout de suite avec déjà bah un cadeau de bienvenu hein pour Monsieur Barnier, je pense qu’il s’en serait bien abstenu où est la France aujourd’hui en septembre 2024 ?
Bien d’abord nous avons une dette publique, on n pas encore les chiffres de 2è trimestre mais autour des 3200 milliards d’euros, un record évidemment absolu. Nous avons un déficit public qui se creuse et surtout qui devient incontrôlable, on verra tout à l’heure les graphiques avec les perspectives notamment de la direction du Trésor sur 2026 et 2027 parce que ça s’arrête pas seulement à 2025 et ça c’est particulièrement inquiétant. Ensuite ben nous sommes numéro 1 mondiaux hein ça c’est forcément des médailles d’or il en a au moins trois d’abord pour les dépenses publiques 57,3 % du PIB il y a pas un pays qui fait plus que nous dans le monde à part quelques petites îles dans le Pacifique mais ça ne ça n’est pas représentatif.Ensuite numéro 1 du monde et dépens social 31,6 % sur notre PIB contre une moyenne de de l’oc2 donc des pays développés de l’ORD de 21 % donc on voit que nous avons nous mettons toutous justement sur ce social malheureusement avec peu de conséquences positives mais c’est une réalité. Et puis surtout numéro 1 du monde des prélèvements obligatoires 46 % de notre PIB il y a pas un pays dans le monde qui fait plus que nous avant il y avait les pays scandinaves mais ils ont compris qu’il fallait arrêter justement d’augmenter cette ponction de façon prohibitive de façon extrêmement dangereuse.
Donc voilà on comprend déjà les mesures à prendre si on veut éviter le pire et puis parallèlement ben les chiffres sont sortis ces dernières semaines un indice Inc du climat des affaires des donc des chefs d’entreprise également de confiance des ménages dans les deux cas nous sommes en zone de contraction de l’activité il y a un petit mieux au mois d’août mais ça c’est un effet Go mais néanmoins il y a bien une contraction de l’activité puis les chifres viennent de sortir production industrielle on nous parlait de réindustrialisation 1,9 % de baisse de la production industrielle française sur 3 mois et parallèlement les exportations françaises au mois de juillet – 3,3 % nous avons également un déficit de la balance courante donc voyz que on pouvait difficilement faire pire j’ai envie de dire pour commencer ce mois de septembre pour commencer ce nouveau gouvernement donc va-t-il avoir les moyens de de prendre les bonnes mesures parce que c’est ça le vrai enjeu aujourd’hui on a évité le pire on a évité un gouvernement qui aurait annoncé une forte hausse des déficites publics euh alors peut-être qu’il aurait fallu ça d’ailleurs pour comprendre la gravité de la situation là on se met à espérer en disant bon peut-être qu’on va prendre des bonnes mesures on verra ça le problème c’est que voilà la première mesure je l’ évoqué tout à l’heure qui a été donc annoncée c’est que la France demande un délai supplémentaire donc pour proposer un, je dirais un projet de réduction de ce déficit normalement nous l’amener même à 3 % en d’ici 2027 bon faut pas rêver c’est déjà on réussi à le réduire quelque peu pour de 2024 et 2025 sera déjà pas mal mais néanmoins encore une fois c’est pas pour faire plaisir à Bruxelles tout ça c’est pour faire plaisir à nos enfants du moins éviter de les mettre dans une situation très compliquée Paris que justement ces déficit et bien il ne cessent de s’accroîre c’est ça qui fait justement la dette et ensuite il faut la financer d’où évidemment une augmentation des taux d’intérêts et ça ça nous coûte directement pour les entreprises pour les ménages et donc parallèlement avec un risque derrière d’augmentation des impôts donc c’est en cela que ceux qui disaient que la dette ne coûtait rien c’est évidemment un mensonge et honté la dette ne coûte très cher bien sûr pour les générations à venir mais également pour nous tout de suite rendez-vous compte chaque année la charge d’intérêt de la dette sera cette année au moins 60 milliards d’euros bientôt 75 milliards d’euros des chiffres complètement fous et donc évidemment le risque ensuite c’est que nos dirigeants augmentent les impôts ça ça serait vraiment le pire qui pourrait nous arriver donc voilà dans le détail donc le gouvernement avait annoncé un plan d’économie de 25 milliards d’euros pour cette année l’ancien gouvernement évidemment après on nous a dit non plutôt 10 milliards en fait si on regarde bien si on veut réduire le déficit public euh d’ici 2027 autour des 3 % même un peu plus va-t-on dire il faudrait réduire tenez-vous bien notre déficit.
Et là il y a des sources d’économie de plusieurs dizaines de milliards d’euros donc ça on ne pourra pas faire l’économie justement c’est le cas de le dire de cet audit pour voir où cet argent a été gaspillé il faudra euh bah dire les choses tout simplement et certainement on comprendra ce qui s’est passé et ça bien entendu on le doit aux Français on doit cette transparence aux français al maintenant si je regarde le déficit global parce que ça aussi il y a un petit problème c’est qu’on voit que le déficit de l’État est supérieur au déficit total ben oui c’est très simple pourquoi là c’est les chiffres de 2023 donc déficit de l’État au sens large plus administration centrale 156,4 milliards le total c’est 154,8 tiens donc c’est le déficit de l’État c’est 101 % du déficit total pourquoi parce qu’on a un déficit de tout ce qui est donc collectivité locale d’à peu près 10 milliards d’euros mais par contre il y a un excédent l’an passé de la la sécurité sociale à 11,5 milliards d’euros alors c’est pas toujours le cas mais en tout cas c’était le cas l’année dernière donc là on voit bien que ça a contribué finalement ça a réduit le déficit he le le puisquil y avait un excédent de l’administration sociale donc si je regarde maintenant sur longue période donc depuis 2010 voilà comment ça se passe depuis 2010 le déficit public total moyen est quand même de 112,6 milliards d’euros c’est évidemment énorme sur ces 112 il y a 102,3 % qui vient de l’État donc 91 % du déficit depuis 2010 c’est l’état ensuite 2,2 % c’est collectivité locale.
IndicateurValeurDette publique (estimation 2ème trimestre 2024)3200 milliards d’euros
Dépenses publiques (en % du PIB)57,3%
Dépenses sociales (en % du PIB)31,6%Prélèvements obligatoires (en % du PIB)46%
Baisse de la production industrielle (sur 3 mois)1,9%
Baisse des exportations (juillet 2024)3,3%Charge d’intérêt de la dette (2024)60 milliards d’euros (estimation)
Déficit de l’État (2023)156,4 milliards d’euros
Déficit total (2023)154,8 milliards d’eurosExcédent de la sécurité sociale (2023)11,5 milliards d’euros
Déficit public total moyen (2010-2023)112,6 milliards d’euros
Solutions
Réduction des dépenses publiques
Il est nécessaire de réduire les dépenses publiques, en particulier dans les domaines où il y a des gaspillages.
Augmentation des recettes fiscales
Il est possible d’augmenter les recettes fiscales, mais il faut veiller à ne pas pénaliser les ménages et les entreprises.Réforme de la fiscalité
Il est nécessaire de réformer la fiscalité pour la rendre plus juste et plus efficace.
Développement économiqueIl est important de développer l’économie française pour augmenter les recettes fiscales et créer de l’emploi.
Amélioration de la gestion de la dette publique
Il est nécessaire d’améliorer la gestion de la dette publique pour réduire les coûts d’intérêt.
La France peut être sauvée si les bonnes mesures sont prises. Il propose notamment de réduire les dépenses publiques,d’augmenter les recettes fiscales, de réformer la fiscalité, de développer l’économie et d’améliorer la gestion de la dette publique. Il souligne également l’importance de ne pas augmenter les impôts, car cela pourrait nuire à l’activité économique.
Marc Touati propose de baisser les impôts pour plusieurs raisons :
- Pour stimuler l’économie : La baisse des impôts peut stimuler l’économie en augmentant le pouvoir d’achat des ménages et des entreprises. Cela peut encourager la consommation et l’investissement, ce qui peut contribuer à la croissance économique.
- Pour réduire les inégalités : La baisse des impôts peut contribuer à réduire les inégalités en allégeant la charge fiscale des ménages à faible et moyen revenu.
- Pour améliorer la compétitivité de la France : La baisse des impôts peut rendre la France plus compétitive en réduisant les coûts de production des entreprises. Cela peut encourager les entreprises à investir et à créer des emplois en France.
Marc Touati estime que la baisse des impôts peut être financée par des économies sur les dépenses publiques et par la lutte contre la fraude fiscale et sociale. Il estime également que la baisse des impôts ne devrait pas entraîner une augmentation du déficit public, car elle serait compensée par une augmentation des recettes fiscales due à la croissance économique.